D'emblée, on est saisi par la masse noire d'une coulée de lave qui contraste avec la terre ocre piquée de jaune et d'orange de la colline de Leirhnjúkur en arrière-plan. Fumerolles, mare aux couleurs laiteuses... L'endroit est magique, mais le plus beau est à venir. Du haut de Leirhnjúkur, lieu de l'éruption de 1975-1984, on contemple l'immense coulée refroidie qui s'étire à perte de vue vers le nord. Au retour, le sentier longe un tapis végétal et quelques flaques de neige. Le tableau est achevé.